Avertissement : Ce blog contient des informations susceptibles de vous parler de choses que vous ne connaissez pas, encore. Il est formellement déconseillé aux personnes qui pensent que l'ozone est un groupe de pop moldave qui attend le retour de l'acide périodique. Toute ressemblance avec la réalité, aussi saisissante et criante de réalisme soit-elle, ne pourra être due qu'à la rencontre fortuite d'un auteur avec la matière.
vendredi 19 juin 2015
jeudi 18 juin 2015
mercredi 17 juin 2015
Quelle leçon tirer de ses erreurs ?
De ses essais manqués et de ses erreurs, on s'adapte à son environnement pour survivre, à une situation pour avancer.
Ignorer une erreur, c'est se priver de la possibilité de l'analyser, de la dépasser, d'en tirer du positif.
L'erreur transfigurée peut faire voler en éclat un système figé dans ses principes et vérités pour devenir « moteur de la vie, source de découvertes et innovations… [l'erreur] apporte le mystère de l'inattendu » (Degos).
Si enseigner, c'est enseigner à vivre, selon la formule de Jean-Jacques Rousseau, il est indispensable de détecter mes / les défaillances de mon / notre enseignement actuel pour affronter des / les problèmes centraux comme ceux de l'erreur (est-ce que je ne risque pas de me tromper lorsque je me mets en situation d'évaluer un élève ? ), de l'illusion (est-ce que je peux éviter l'échec scolaire ou le décrochage à tous les coups ? ), la partialité (est-ce que j'évalue mes élèves sur les « bons » critères et sur un même pied d'égalité ? ), de la compréhension humaine (est-ce que j'ai conscience de l'émergence d'une nouvelle culture-wiki-google hyperconnectée, des mœurs, et de la revendication d'une autonomie affichée et assumée, celle de mon public ? ), des incertitudes que rencontre toute existence (suis-je condamné à alterner la prose et le poème toute la vie durant ? ).
Ces questions incontournables émergent naturellement du modèle des niveaux logiques de Bateson et Dilts.
mardi 16 juin 2015
mardi 9 juin 2015
jeudi 21 mai 2015
Origine de la couleur
En fait, la couleur d'une substance résulte de la conjugaison de deux
phénomènes, tout aussi importants l'un que l'autre, mais complètement
indépendants.
La couleur, en tant que sensation physiologique, dépend à la fois du spectre d'absorption du corps en question, c'est-à-dire des fréquences qu'il absorbe, et de la courbe de sensibilité de notre œil, qui ne perçoit que les longueurs d'onde comprises environ entre 400 et 800 nanomètres (nm ; 1 nm = 10—9 m), avec un maximum de sensibilité vers 600 nanomètres.
Lien encyclopédie Universalis
La couleur, en tant que sensation physiologique, dépend à la fois du spectre d'absorption du corps en question, c'est-à-dire des fréquences qu'il absorbe, et de la courbe de sensibilité de notre œil, qui ne perçoit que les longueurs d'onde comprises environ entre 400 et 800 nanomètres (nm ; 1 nm = 10—9 m), avec un maximum de sensibilité vers 600 nanomètres.
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