samedi 1 novembre 2014

Mosaic ... le premier gros navigateur, ai 19 ans



1993: Mosaic – first graphical web browser for the general public

Mosaic - first graphical web browser for the general public
The first widely downloaded Internet browserMosaic, was released in 1993. While Mosaic wasn’t the first web browser, it is considered the first browser to make the Internet easily accessible to non-techies.

IRC début du chat

1988: IRC – Internet Relay Chat

IRC - Internet Relay Chat
Also in 1988, Internet Relay Chat (IRC) was first deployed, paving the way for real-time chat and the instant messaging programs we use today.

First Emoticon

1982: The first emoticon

The first emoticon
While many people credit Kevin MacKenzie with the invention of the emoticon in 1979, it was Scott Fahlman in 1982 who proposed using :-) after a joke, rather than the original -) proposed by MacKenzie. The modern emoticon was born.

jeudi 23 octobre 2014

Mikao Usui 臼井甕男 (1865–1926)



Juste aujourd’hui (aujourd'hui même)今日だけは (Kyō dake wa?) :
  1. Ne te mets pas en colère (怒るなOkuru, ou Ikaru, na?)
  2. Ne te fais pas de souci (心配すなShinpai suna?)
  3. Sois rempli de gratitude (感謝してKansha shite?)
  4. Accomplis ton devoir avec diligence (行を励め(Gyōwo hage me?)
  5. Sois bienveillant avec les autres, et avec toi-même (人に親切にHito ni shinsetsu ni?)

mardi 7 octobre 2014

Tiré de Wiki, la peste

On estime que la peste noire a tué entre 30 et 50 % de la population européenne en cinq ans, faisant environ vingt-cinq millions de victimes4.

samedi 30 août 2014

Think so different ...


Prochainement ...

...

Micro-fractionnement d'un mélange de substances pharmacologiquement actives par extraction acide-base




jeudi 26 juin 2014

Drôle ...


Pensez-y !

"[...] je n'ai jamais cessé de croire que la pensée libre est essentiellement une affaire et qu'elle le sera à jamais. Affaire dans tous les sens possibles : drame, événement, projet, offense, négociation, bruit, participation, excitation, émotion, confusion collective, lutte, mêlée, mimétisme, business, spectacle." SLOTERDIJK (2000)

La sécurité dans le laboratoire de chimie. Un Guide sur la gestion prudente des produits chimiques.


Tous les jours, dans le monde entier, des chimistes travaillent sur des substances chimiques dangereuses dans des laboratoires. Ils appliquent généralement les procédures nécessaires à la manipulation et la mise au rebut en toute sécurité de ces substances chimiques.





Si c'est votre cas, ce livre vous concerne.

lien de téléchargement

mercredi 25 juin 2014

Histoire populaire des sciences


 Nous connaissons tous l'histoire des sciences telle que nous l'avons apprise dans les manuels scolaires : comment, grâce à son télescope, Galilée démontra que la Terre n'est pas au centre de l'univers ; comment Newton découvrit l'existence de la gravité en voyant tomber une pomme ; comment Einstein résolut les mystères de l'espace et du temps grâce à une simple équation... Le récit traditionnel de cette épopée attribue à une poignée de grands hommes aux grandes idées l'intégralité de ces découvertes. Pourtant les sciences sont depuis toujours une oeuvre collective. Ce livre raconte l'histoire des savoirs établis par les chasseurs-cueilleurs, les petits paysans, les marins, les mineurs, les forgerons, les guérisseuses et tant d'autres gens qui devaient assurer leur subsistance au contact quotidien de la nature. La médecine trouve son origine dans la découverte par les peuples préhistoriques des propriétés thérapeutiques des plantes. La chimie et la métallurgie se développent à partir des savoirs produits par les mineurs, les forgerons et les potiers de l'Antiquité. Les mathématiques doivent leur existence aux topographes, aux marchands et aux comptables. Au XIXe siècle, l'alliance du capital et de la science marque le coup d'envoi de la civilisation de la technoscience, dominée par les experts et obsédée par la puissance, l'efficacité, la rationalisation, l'accumulation et le profit. Comprendre ce basculement nous permet de saisir la nature de la tyrannie technologique qui nous aliène aujourd'hui.

dimanche 11 mai 2014

Cerveaux à vendre

Cerveaux à vendre

LUNDI 12 MAI 2014
Ces derniers jours, la presse s’est fait l’écho des liens toujours plus inextricables entre les universités et le monde de l’industrie. Un journaliste de la Wochenzeitung est en effet parvenu, après des années de combat, à se procurer les contrats signés avec les géants de la recherche.
Ainsi, pour cinq millions de francs annuels, Nestlé a obtenu un droit de veto sur le choix des professeurs travaillant pour l’une de ses chaires à l’EPFL. Les recherches portent sur l’obésité, le diabète ou encore le rôle que joue la nutrition dans le développement cérébral des enfants.
Que Nestlé et ses 8000 marques – dont des sodas, en-cas, et autres plats préfabriqués – veuille découvrir des aliments susceptibles de soigner l’obésité et l’hypertension, soit. Mais faut-il laisser l’EPFL servir de caution à ces études? «La liberté académique est totalement garantie», affirme son président Patrick Aebischer. Qui indique par ailleurs que l’EPFL a pour vocation de «vivre en symbiose avec l’industrie».
N’en déplaise à M. Aebischer, une université ne se résume pas à la production d’ingénieurs pour multinationales. Dans un monde portant aux nues les partenariats public-privé, plus
personne n’est surpris par le fait que les chaires Nestlé côtoient les chaires Swissquote en
finance quantitative ou Petrosvibri (un exploitant de gaz naturel) pour le stockage de CO2 en sous-sol.
L’EPFL n’est pas la seule touchée. L’université de Zurich s’est vu offrir un don de cent millions de francs par l’UBS. Et l’EPFZ a laissé Syngenta «sponsoriser» sa chaire en agro-système pour dix millions de francs. A l’autre bout de la chaîne, les Universités de Lausanne, Genève ou Fribourg sont plus regardantes et se sont dotées de lignes claires réglementant, voire limitant au maximum ce sponsoring.
La marchandisation dans ce domaine a atteint un tel point qu’Ursula Pia Jauch, professeure de philosophie à l’université de Zurich, a lancé un appel pour lutter contre cette tendance1: «Les universités sont nées de l’idée d’offrir un lieu protégé et non mercantile à la recherche, l’éducation et à l’enseignement. Elles servent le bien commun, sont donc prises en charge par la société. En lien direct avec cette idée fondatrice, l’éthique scientifique garantit à ce lieu d’être à l’abri de toute exploitation partisane, politique, idéologique ou économique.»
Il ne s’agit pas d’exiger des Hautes écoles qu’elles se coupent du monde de l’industrie. Mais qu’une réflexion de fond soit menée sur ces partenariats, que les exigences des uns et des autres soient clairement définies et accessibles au public. Les universités qui le pratiquent affirment que le sponsoring ne nuit pas à la liberté académique. Qu’elles le prouvent en faisant preuve de transparence.

NewspapersblackouT



http://newspaperblackout.com/

Chemistry by Design

Chemistry by Design

vendredi 9 mai 2014

Ph.D


Tellement vrai !

"One day a chemistry professor was discussing a particularly complicated concept.  A pre-med student rudely interrupted to ask 'Why do we have to learn this stuff?'  'To save lives,' the professor responded quickly and continued the lecture.  A few minutes later the same student spoke up again.  'So how does organic chemistry save lives?'  he persisted.  'It keeps idiots out of medical school.' replied the professor."  --Modified from Frank Gorga, Bridgewater State College

Chemistry haïku from the net ... tout un poème

one femtosecond
nucleophile is poised
leaving group going
70 eV
ionization achieved
fragmentation next
molecular angst
is caused by torsional strain
rotate sigma bond
C-Br pi star
Achtung! an incoming nuc
Walden inversion!
Proton NMR
Excitation pulse begins
Can I relax now?
My friends get to jump
But I am not permitted
Carbon twelve am I
Both reach for the sky
Primary, anomeric
Beta, poor for food